Il y a 5 ans, neuf universités (VUB, ULB, KUL, UCL, UA, UNamur, UHasselt, ULiège, UGent) estimaient, dans une enquête réalisée par le cabinet d'avocats NautaDutilh, qu'elles auraient créé une centaine de spin-offs, tout au plus, en 2018. À l'heure du bilan, on en dénombre 183, principalement dans les TIC, les biotechnologies et les technologies médicales, rapporte L'Echo vendredi.
L'intérêt et le soutien financier croissants des fonds et des multinationales pour les projets prometteurs expliquent en grande partie cette croissance inattendue.